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7 octobre 2016

La nun study pose la question de la correspondance entre une dégénérescence neuronale avérée et une modification comportementale importante. Il n’y a pas que cette étude qui interroge sur la réduction d’Alzheimer aux effets d’un problème de vieillissement du cerveau.

Il suffit de prendre le temps de discuter avec les équipes d’EHPAD, pour constater certaines constantes comme le fait que le comportement des personnes « démentes » change du tout au tout en présence d’un bébé. Ou encore pour relater des moments d’arrêt de comportement délirant lors de situations inhabituelles, etc.En fait les exemples sont légion… Or, ils ne devraient pas exister du tout…

En effet, si le comportement Alzheimer était strictement un effet d’une dégénérescence neuronale, les personnes resteraient en permanence enfermées dans leurs comportements sans que rien d’autre que des médicaments ne viennent les en extraire… Voilà qui pose question.

A la suite des travaux du Dr Maisondieu, j’ai creusé l’hypothèse d’un déclenchement de comportements dits « Alzheimer » suite à la survenue d’une forte angoisse de mort.

Les résultats sont là. Bien entendu, il s’agit d’un premier pas, beaucoup d’autre sont nécessaires.